Préventes en ligne conseillées (Ici pour le concert du 17 juin 2023)
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THE DEAD C
© Hans van der Lingen
Without The Dead C the face and sound of modern noise and experimental music would be unfathomably different.
Dusted, USA
They have permanently deformed rock music.
David Keenan, The Wire
Formé à Port Chalmers, en Nouvelle-Zélande en janvier 1987, The Dead C s’est toujours composé
de deux guitaristes et d’un batteur : Michael Morley, Bruce Russell et Robbie Yeats.
Depuis leur début, ils n’ont cessé d’évoluer sur une corde raide tendue entre le rock et l’improvisation libre, une corde distendue de laquelle ils ne sont pas encore tombés.
35 ans de carrière qui ont donné lieu à près de 30 albums sur un éventail ahurissant de labels indépendants à travers le monde – Siltbreeze, Language, Ba Da Bing…
Adulés par Sonic Youth, Yo La Tengo et beaucoup d’autres, leurs performances restent extrêmement rares (même en bas de chez eux…) et sont toujours uniques.
The Dead C sont, comme l’a si bien dit John Peel au sujet de The Fall : « Toujours différents, toujours pareils ».
The Dead C est un groupe de rock instable et inimitable au son plein de rouille et de cambouis. Un lien entre rock, noise, drone et improvisation expérimentale.
Corticalart
Dernier album en date, ou récent tout du moins (2020) :
https://www.badabingrecords.com/the-dead-c
Michael Morley développe son projet solo Gate et a joué entre avec Lee Ranaldo, Bill Orcutt, Tom Carter…
Bruce Russell a créé le label Corpus Hermeticum au début des années 90. On lui doit des dizaines de sorties, tous supports confondus, couvrant un large spectre la musique bruitiste, improvisée..
https://languagerecordings.bandcamp.com/
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ROY MONTGOMERY
© Otto Montgomery-McCarthy
Roy Montgomery, né en 1959 à Christchurch (NZ), est un véritable pionnier de l’underground néo-zélandais.
Dès le début des années 80, il crée The Pin Group aux côtés de membres de The Terminals. S’en suivent d’autres explorations électriques et avant-gardistes au sein de Dadamah, Dissolve…
C’est en 1995 qu’il compose son premier album solo, une pièce maîtresse intitulée «
Scenes from the South Island
».
On y découvre une musique lofi, un folk décharné, étrange, d’une profondeur saisissante.
Très productif, notamment ces dernières années aprés un hiatus de plus de dix ans, Roy Montgomery distille une oeuvre ultra personnelle qui regorge de mouvements et d’états d’âme cruciaux.
Guitares éthérées, douceur abrasive, songwriting et onirisme promettent un moment unique et immersif dans la psyché d’un artiste primordiale.
Outre le «
Scenes from the south Island
» sus-cité, on vous recommande une visite du côté de Grapefruit Records qui a édité bon nombre d’albums de Roy Montgomery ces dernières années dont le magnifique «
Camera Melancholia
» en 2022.